L'oeuvre de Max Bruch brille des derniers feux du romantisme allemand. Dans les pas de Félix Mendelssohn, de Robert Schumann ou de Johannes Brahms, Bruch persista à défendre une veine mélodique inspirée de la culture populaire, seul « salut de ces temps hostiles à la mélodie ». C'est aujourd'hui ce qui fait la grâce de sa musique de chambre, ultime et frémissant témoignage de l'Allemagne du XIXème siècle.
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