Night Songs.
Whether it be cheerful, melancholy, amorous or piously contemplative, the night - a favorite source of romantic inspiration if ever there was one - is the unbroken thread running throughout this recording on which we will find monumental pieces like the Gesang der Geister uber dem Wasser side by side with more descriptive pieces like Der Gondelfahrer. The composer of an abundant body of chorale music, Schubert is here in his element, and yet, it is astonishing how little importance he attached to these masterly pieces! Their stunning beauty reveals that they are in no way inferior to the finest of his solo songs.
Philip Mayers plays a fortepiano by Johann Fritz, Vienna, 1825.
Chants de la nuit.
Qu'elle soit souriante, mélancolique, amoureuse ou pieuse, la nuit – thème favori de l'inspiration romantique s'il en est – constitue le fil d'Ariane de ce disque où se côtoient des pièces monumentales telles que le Chant des esprits au-dessus des eaux et des pièces plus descriptives comme Le Gondolier. Auteur d'une production chorale abondante, Schubert était ici comme un poisson dans l'eau : le plus étonnant, c'est le peu d'importance qu'il accordait à ces oeuvres tout à fait magistrales ! Leur fulgurante beauté montre au contraire qu'elles n'avaient rien à envier aux lieder du même compositeur.
Philip Mayers joue sur un pianoforte Johann Fritz, Vienne, 1825.