Carlo Francesco Cesarini: Cantatas

This album marks the rediscovery of one of the most important composers of the Italian Baroque: Carlo Francesco Cesarini (1666-1741?), a virtuoso violinist also known as Carlo del Violino.
The six previously unreleased cantatas on this recording were composed in the early 18th century and regularly performed between 1700 and 1717. They are all taken from Manuscript 2248 of the Biblioteca Casanatense in Rome, a rich anthological collection assembled for Cardinal Pamphili, a major figure in Roman cultural life.
The themes treated are in the pure Arcadian-pastoral tradition: the suffering caused by an unreciprocated love (Penso di non mirarvi), betrayal and distance from the loved one (Oh dell’Adria reina), jealousy (Filli no’l niego io dissi). Two of the cantatas are based on mythological episodes: Ariadne for Già gl’augelli canori, and Phaeton for Fetonte e non ti basta.
This major rediscovery is sublimated by the divine Stéphanie Varnerin and L'Astrée (Academia Montis Regalis), in the expert hands of Giorgio Tabacco, enhanced by the famous Aparté recording quality that will delight the most demanding audiophiles.

Cet album marque la redécouverte de l’un des compositeurs les plus importants du Baroque italien : Carlo Francesco Cesarini (1666-1741 ?) également violoniste virtuose, est aussi connu sous le nom de Carlo del Violino.
Les six cantates inédites présentées sur cet enregistrement furent composées au début du 18ème siècle et régulièrement données entre 1700 et 1717. Elles sont toutes extraites du manuscrit 2248 de la Bibliothèque Casanatense de Rome, un riche recueil anthologique composé pour le Cardinal Pamphili, acteur central de la vie culturelle romaine.
Les thèmes traités sont dans la pure tradition arcadico-pastorale : la souffrance causée par un amour non réciproque (« Penso di non mirarvi »), la trahison et de la distance de la personne aimée (« Oh dell’Adria reina »), la jalousie (« Filli no’l niego io dissi »). Deux des cantates sont basées sur des épisodes mythologiques : Ariane pour « Già gl’augelli canori », Phaéton pour « Fetonte e non ti basta ».
Une redécouverte majeure sublimée par la divine Stéphanie Varnerin, et l'Astrée (Academia Montis Regalis) placés entre les mains expertes de Giorgio Tabacco, et de la fameuse prise de son Aparté qui ravira les audiophiles les plus exigeants.