From the memory of childhood to death, from Tchaikovsky to Shostakovich, Russian music has often sung elegies. With Glazunov and Tchaikovsky, they are recollections of childhood, nostalgia for another world. While Rachmaninoff evokes purity in his Vocalise, Shostakovich intones a swansong, a song of death. In the warm timbre of Gérard Caussé's viola and the generous sonority of Brigitte Engerer's piano, all the melancholy and tenderness of Russia finds eloquent expression.
Du souvenir de l’enfance à la mort, de Tchaïkovski à Chostakovitch, la musique russe a souvent chanté les élégies. Avec
Glazounov et Tchaïkovski, ce sont les premiers souvenirs, la nostalgie d’un autre monde. Si Rachmaninov évoque la pureté
par sa Vocalise, Chostakovitch entame un chant du cygne et de mort. Avec les sons chaleureux de l’alto de Gérard Caussé et
le piano généreux de Brigitte Engerer, c’est toute la tristesse et la tendresse de la Russie qui s’exprime.
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